Je le vois encore une fois rougir légèrement me demandant alors à quoi il peut penser pour que ses joues rosissent pour la deuxième fois en peu de temps et que je le vois à la lumière tamisé de sa chambre. Mes doigts s'amusant à glisser sur ses joues brûlante, son corps tout autant chaud et incendiant certes le mien, j'observe un instant son visage. Fronçant les sourcils, un sourire s'étend pourtant sur mes lèvres. Tu m'expliques pourquoi tu rougies ? Et faudra aussi m'expliquer pourquoi je demande ça, pourquoi est-se que d'un seul coup je pose ce genre de question en ce genre de situation alors que je suis le premier à -comme je l'ai dit plus tôt- ne pas forcément être fan de "discussion" dans ces moments là. Serait-ce Rhian qui me contamine ?!!! J'en sais rien, le changement de "décor", de personne, d'ambiance, tout ici est là pour me rappeler que je nage dans un putain de lac inconnu. Je parle pas du sexe en lui-même, c'est bon malgré que je ne veuille pas l'avouer, j'ai pas mal pratiquer dans ce domaine masculin... Non je parle de ... Rhian.

Il nous lâche alors que je reprend ma respiration avalant ma salive en ne le quittant pas des yeux l'observant faire , autant sa facilité à agir comme un poisson dans l'eau, que par le fait que oui je perds pas de mes pensées qu'il a couché avec sans doute tous ceux qui ont une queue innoccupé de la ville. J'y pense pas de manière péjorative, mais du faut que malgré ces dix-sept malheureuses petites années, ce gamin à sans doute plus d'expérience sexuelle masculine que moi... Putain ça fout un coup ! Bien que sur l'instant je pense pas réellement à ça, y songeant sans vraiment y penser alors que je me mordille la lèvre le regardant faire avant de le sentir descendre sachant pertinamant se qu'il va faire.... Ou pas. Tu sais ce que je voudrais maintenant... Je fronce un sourcil tout ouïe, bien que sa bouche si proche m'aide pas vraiment, je me crispe légèrement baissant le regard vers lui. Son souffle brulant sur ma peau plus que sensible et respective à cet endroit là, j'avale ma salive difficilement. C'est que tu me le demandes...que tu prononces mon prénom tout en me regardant. Dis-moi ce qu'un garçon doit faire une fois dans cette position pour te plaire... Je le fixe stupéfait, avant de laisser ma tête tomber sur l'oreiller me cambrant légèrement d'envie en sentant sa langue. Rhian t'es qu'un sacré... Con ? Chieur ? Gamin immature et chiant ? Je rie légèrement, p*tain ce môme me tuera ! Réellement il est impossible, comment fait-il pour être aussi... chiant et à ce moment la désirable ? Bon facteur assez important avec sa bouche si près d'un organe bouffé que par l'envie de plus... faut dire que ça n'aide pas. J'inspire lentement le fixant sachant très bien qu'il sait aussi quel effort a me demande de céder à ses caprices, je rie en tirant ses cheveux me mordant la lèvre. Rhian... s'il te plait. Pourrais-tu avoir l’amabilité ... je sourie en rajoutant évidement une couche, ayant clairement conscience du faussé qui nous sépare entre sa vulgarité et mon... "savoir se tenir" en toute situation. Bon quoi que là, son regard, son souffle, sa bouche. Je craque ! Je râle en baissant les armes dans un rire furieux de sa victoire. Bordel suces moi Rhian, t'as gagné. Je répond pouvant décidément face à cette situation pas garder un langage réellement chic, non c'est impossible pas avec une envie comme ça. C'est même pas de la vulgarité mais c'est juste que là... ça traduit réellement juste se dont j'ai envie. Enfoiré va.

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Ses joues tel de la peau à vif continuent de cette couleurs alors que je remarque que ma question le surprend, le désarçonne sans que je comprenne pourquoi. J'ai juste voulut savoir, c'était nullement inquisiteur ou méchant ou autre, je voulais ne le gêner, ne le surprendre... j'en sais rien je voulais... juste savoir. Savoir se qui peut donc faire rougir cette diva sans gêne qu'est Rhian, savoir comme gêné ou du moins troubler son regard de gamin provocateur et sans crainte du ridicule. Je sais qu'au fond il n'est pas comme ça, je l'ai compris depuis longtemps, encore plus depuis qu'il m'a dit se qu'il avait... subit. Non c'est pas de savoir qu'il peut être gêné, non, c'est de savoir se qui peut le faire. En savoir plus sur lui... Je rougis...Je sais pas...Parce que je suis avec toi.. Sa manière de réagir si enfantine et sans savoir quoi dire me font sourire alors que je répond tout de même à son baiser. Je comprend pas sa réponse, et je sais pas encore que ses paroles vont finir pas venir me hanter dans peu de temps. Non pour le moment je les comprend rien, je comprend pas son intérêt pour moi, ni ses pseudo sentiments, je ne les remet pas en cause, je me dis juste que... non , il doit se tromper. Alors je répond à son baiser, laissant tomber sa réponse sans sens, pour m'abandonner aux plaisirs naissant par son corps et son touché.

Il rit je l'entend rire, mais avec franchise et je crois que sur le coup je l'ai totalement soufflé par ma réponse. En meme temps c'est sa faute, il joue avec mes nerfs sexuel, c'est pire que jouer avec les nerfs de quelqu'un tout court. Pire que tout, surtout en approche d'une érection comme ça. Avec plaisir, Faust. Il me tire un sourire qui est pourtant de courte de duré, de réelle courte duré alors que sans "vraiment" m'y attendre sa bouche s'empalle dans seul coup sur l'intégralité de mon membre gonflé d'envie. Et bordel c'est immédiat comme sensation. Me crispant, ma machoire se contracte alors que je retiens un moment ma respiration, mes doigts s'accrochant aux siennes posé sur mes hanches alors que son regard ne se détourne pas une seconde. Ses yeux m'hypnotisant totalement, un p*tain de silence vraiment bizarre vu de l'extérieur s'abat sur la chambre, la maison même. Seuls les bruits de succions le perturbent alors que pour autant rien me dérange, non pas qu'il me procure pas du plaisir et que c'est pour ça que aucun bruit ne sort de ma bouche mais... sa manière de faire et son regard... ça c'est du Rhian. Et je sais pertinemment que c'est pas comme l'autre fois, non pas forcément par son rythme qui change et sa manière de faire, non. Juste ça. Cependant je suis quand même pas si insensible et j'ai mais limite alors que mes doigts e contractent sur ses draps un gémissement m'échappant. Un gémissement carrément. Ok je le hais, il a de la chance d'être sur ma queue, là maintenant tout de suite, parce que sinon... un grognement oui ok... mais ce genre de plainte du pure plaisir... certes c'est excellent pour son égo à lui, mais pour moi... Néanmoins dans ce moment je ferme juste les yeux en me mordant la lèvre, mes doigts se refermant autour de ses épaules alors que je l'éloigne ne voulant pas m'en résoudre à ça comme plaisir et me vider en lui. Une fois ouai... surement pas deux. Le faisant rouler sous moi je reprend le dessus, vu la preuve de plaisir qu'il a eut, j'ai carrément besoin de reprendre le dessus et les rennes des choses, j'y peux rien je suis comme ça. ma langue passant sur ses lèvres avec amusement, je reviens la glisser dans sa boche avec fureur, mes doigts glissant jusqu"à cette barre de plaisir qui se dresse entre nos corps, venant la caresser pour ne pas faire redescendre son envie.

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Je sens à peine ses ongles s'incrustant et marquant ma peau, son geste me tirant à peine un grognement plus fort que ceux que me provoquent déjà son corps et sa bouche contre ma peau. J'y prend pas vraiment garde, seul son plaisir -et le mien- accaparant pour le moment mes pensées. Je sais que plus tard ça risque de se compliquer, une fois tout cela passé. Peut-être pas dès après, sans doute pas même. La plénitude du sexe aidera à ne accorder, mais je pense que demain... ou plus tard, tout va se compliquer. Mais j'ai pas envie d'y songer maintenant. Non, il a réussis à me faire céder sur ce point, à me faire oublier son âge et le reste et à me laisser aller contre lui et diable que non je ne vais pas m'arrêter pour penser à tout ce genre de truc.
Je le sens se tendre, se coller contre moi, réagir, s'exprimer, et je suis abasourdis à me dire que j'ai réussis à ne tenir si longtemps à me retenir quand ça pouvait être si.... bien ?! Sa main vient se glisser entre nos corps. Tu...veux...que je...prenne un préservatif...dans mon tiroir ? Sa respiration saccadé, son souffle chaud et son corps moite me donne plus que satisfaction alors que ses paroles, sa question, me fait sourire. Je ne répond rien cependant me décalant légèrement sur le côté pour lui permettre de se tourner et atteindre son tiroir. Le regardant se tourner légèrement, j'en profite pour glisser mes lèvres dans son cou et son dos, apercevant un peu de lumière les marques de mes ongles tout à l'heure, juste légèrement rouge mais visible quand même alors que ma langue glisse dessus, mes doigts caressant sa peau, descendant sur ses cuisses alors que je remonte le long de son dos mes lèvres venant mordre doucement la peau dans son cou.

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Je le laisse donc se tourner vers son tiroir, le laissant trifouiller sans vraiment craindre qu'il en ait pas. Non pas que je prenne Rhian pour la catin de service qui a toujours se qu'il faut tellement il est habitué, et en possède des stock. Loin de là, mais au pire, je descendrais, il doit y en avoir dans mes poches de veste donc c'est nullement un problème. Même si je reconnais que ça me ferait plus que suer de devoir arrêter ce contact pour descendre et aller en chercher. Je l'entend pousser un léger cris victorieux et je fronce les sourcils sans pour autant lui demander se qui ne tourne pas rond dans son crâne, mon attention étant détourné par ses "paroles" alors que je sourie contre sa peau continuant sur ma lancée. Je laisse ma langue et mes lèvres se perdre sur sa peau moite de désir et de nos caresses.
Puis il se tourne me coupant dans ce contact alors que je me dois donc d'arrêter le sentant passer au dessus de moi, je le laisse faire le voyant me filer le-dit préservatif alors que je le chope entre mon index et mon majeur m'en occupant pas trop réellement pour le moment sa bouche sur ma peau déviant le court de mes pensées alors que je soupire de satisfaction à cette sensation que fait renaître pour la énième fois de cette heure, la langue de Rhian. Mes doigts glissant derrière sa nuque, sa bouche étouffe contre la mienne les sons de nos plaisirs respectif alors que je ne me prive pas pour m'introduire dans sa bouche ma langue contre la sienne, contre son palais, mes lèvres contre les siennes. Je le laisse un temps son corps dicté sa propre loi au mien, son ardeur traduisant parfaitement mon envie donc cela ne me dérangeant en rien. En faite c'est même plutôt "normal" même si je déteste qu'on contrôle quoi que ce soit chez moi, avec Rhian qui a toujours voulu me foutre dans son lit c'est toujours lui qui menait la danse des "séduction" et moi celui de la barrière de glace. Alors maintenant que ça change...

Continuant de l'embrasser mes doigts défont le papier , le bruit de son déchirement ne s'entendant que très peu entre nos soupires et nos corps qui bougent l'un contre l'autre. J'attrape le bout de latex abandonnant le papier je ne sais où sur son lit alors que je déroule sans difficulté ce truc si eu intéressant et pourtant tellement nécessaire. Mes mains de nouveau libérer je tire Rhian par les hanches contre moi, collant son corps contre le mien , seuls ces organes gonflés d'envie entre nous. D'un mouvement de hanches je le fais se tourner passant aisément, sas autre difficulté que de l'enjamber au dessus de lui, mes doigts descendant le long de sa colonne vertébrale ne s'arrêtant pas dans leur chute vertigineuse jusqu'à ce point si sensible au plaisir.

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Sur le coup son cris me surprend à la limite de me faire presque sursauter, je fronce un sourcils alors que le son résonne dans la chambre chargé d'électricité et de désir. Pardon... Je rie. Je reprend mon activités, jouant à attiser son désir autant qu'à augmenter son plaisir, mes lèvres continuant de parcourir sa peau à ma disposition. Je te pardonne... Je répond par pur taquinerie et provocation. Alors que je le sens réagir à la perfection à mes gestes, je soupire d'aise en sentant sa main sur ma peau, je ne retiens pas à gémissement de plaisir en le sentant faire, mon envie s'enfonçant encore plus en moi alors que la température de mon corps ne fit que monter depuis tout à l'heure, comme l'envie, comme le plaisir qu'il fait monter avec ses doigts, comme son corps qui trahit autant que le mien que ce moment est plus que partager dans les deux camps.
JE fais rainer lentement les choses ne voulant absolument pas le brusquer, ne voulant pas être ce coup vite fait qu'il se fait aux chiottes ou dans les chambres d'amis aux soirées où il va, je fais durer les choses parce que si avec Baptiste il me râle dessus parce que des fois j'y vais "d'un coup" et qu'il le sent passer, nous on en rit. Alors qu'ici je trouverais ça vraiment vraiment vraiment pas marrant, pas avec Rhian, pas comme ça. Et non je verse pas dans la niaiserie de sentimentalité, mais c'est "un gosse", rectification c'est Rhian. Et ça change tout. Néanmoins je peux pas faire durer les choses ad vitam, je glisse mes lèvres sur sa colonne vertébrale, ma main de libre glissant lentement sur sa main qui s'occupe de moi, détachant ses doigts lui faisant clairement comprendre la suite des choses. Et il semble le capter, sur le coup la pièce retrouvant un peu de son calme, les cris de Rhian se calmant... pour un temps, ça j'y compte bien, que ce soit juste pour un temps avant de le faire repartir de plus belle.

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Voilà...Tu es libéré de ta promesse... Je sourie en entendant cette phrase se caler entre deux gémissements, et je mordille sa peau rajoutant rien. J'ajouterais bien qu'il sera pardonner quand il m'aura fait jouir, mais ça pourrait aussi être mal prit, qu'il le prenne comme si je l'utilisais que pour mon plaisir personnel. Et ça je ne veux pas, alors je m'abstiens, ce soir je veux que là tout de suite, rien vienne perturber ce moment. Je sais très bien que le moindre petit truc pourrait briser sans doute cette ambiance, cette complicité, peut-être même me faire faire marche arrière. Et pourtant diable que je n'en ai pas envie. Alors je me tais, je garde ça pour moi, je me contente de profiter de ce contact contre son corps. Sa voix couvrant un long moment la mienne, je me complet dans ces bruits témoin de l'intensité du moment. Finalement c'est pas mal qu'on soit chez lui et non chez moi. Quelqu'un serait passer me voir il urait de suite deviné se qui se passait.

Je le sens se cambrer, puis s'arrêter, se taire doucement alors que son souffle fait écho au mien. Lent, brûlant, difficile de part l'envie. Je sourie contre ses lèvres, j'en veux plus. Beaucoups plus de ce baiser mais il s'éloigne et je grogne de mécontentement m'approchant pour les récupérer bien que sa voix me fait arrêter ce geste. Je croise son regard. Voilà...Tu es libéré de ta promesse... Je comprend pas, je fronce les sourcils. Le regarde, avant de me douter peu à peu mon regard quittant le sien pour se poser sur les chiffre incandescent de son radio réveil. Minuit. Pile. Je sourie venant reprendre possession de ses lèvres un temps avant de m'en éloigner de lui, chaque mouvement provoquant le frôlement de son antre qui me fait frémir. Je glisse contre son oreille. Alors joyeux vrai anniversaire toi. Je murmure, mon bassin glissant contre lui alors que je le pénètre lentement, aussi lentement que mes mots qui glisse contre lui, devant me mordre la lèvre pour ne pas gémir en plein milieu de ma phrase, mes dents venant e refermer sur le lobe de son oreille. Mon corps prit d'un frisson malgré cette température immense et surtout émanant de mon entre jambe dressé en lui.

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Merci...Merci pour tout... Je sourie. Mais je ne répond rien, il faudrait plutôt qu'il me remercie quand tout sera terminé, parce que là... c'est pas que ses paroles j'en ai rien à foutre, absolument pas.Mais disons que j'y ferais plus attention quand je serais moins occupé, quand je serais pas en lui et quand ce plaisir ne me bouffera pas tout le cerveau et tout le corps. Se qui résume parfaitement la situation présente et remet le reste, les réflexions, les pensées et les broutilles pour plus tard, je pourrais penser à tous se qui risque de changer, de foirer et de merde. Mais là sincèrement c'est pas le moment et je ne pense pas que Rhian soit contre le fait de remettre cela à plus tard.

Plus je bouge en lui, le pénétrant avec un rythme lent, plus le silence de la chambre est repoussé bien loin par les bruits de notre plaisir respectif et commun, plus le temps passe et plus ce plasir devient ardant et menace de se finir avec grandeur d'un moment à l'autre. J'accélère mes mouvements ma peau brûlante et mon corps moite de cet effort torride. Une main agripper à ses hanches, mon autre main glisse sous lui contre son torse, caressant sa peau alors que je descend sur son ventre venant ensuite m'occuper de cette partie délaissé par nos ébats mais tout aussi réceptive de ce plaisir sexuel. Ma main s'enroulant autour de ce membre gonflée et dressé contre les couverture ma main allant et venant tout le long de celui-ci à la même vitesse que mon bassin qui percute son corps, avec tout autant d'ardeur. Mon souffle brûlant ma gorge en feu, je respire comme je peux bien que cela soit le dernier de mes préoccupations, gémissant contre sa peau alors que j'essaye de tenir encore contre son corps voulant prolonger son plaisir autant que le mien.

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Mes reins me brûlant à l'identique que mon corps et surtout mon bas-ventre, je me rend comtpe à quel point nous sommes tous masochiste, nous être humain. A quel point on tire un putain de plaisir alors que limite ça frôle presque la douleur d'attendre un orgasme. Et pourtant pour rien au monde je laisserais ces sensation de mon corps qui me brûle, qui me tire et cette pression limite douloureuse qui me crispe en bas de l'estomac. Non j'aime trop ça, j'aime ça comme j'aime sentir cette sensation de frottement qui ne fait qu'attiser et faire grimper le plaisir, j'aime sentir sa peau entrer en contact avec moi quand j'arrive plus profond en lui, j'aime avec la gorge qui brûle, plus de souffle, l'impression que j'arrive plus à penser tellement mon corps brûle et demande à être soulagé. Et croyez moi le soulagement vaut clairement tout cela, c'est même d'ailleurs tout cela ui permet d'aimer autant le final. Ma voi déraillant dans ces bruits de plaisir, je continue inlassablement lesentant de cet état qui évidement me fait plus que plaisir.

Si...Tu continues...Je vais....venir... Là j'aimerais rire et lui dire que c'est ça le but, dude lâches toi, te retiens pas. C'est ça le but même de la chose, et que moi de toute manière j'en mène pas bien plus large. Cependant trop essoufflé je ne répond rien, mes lèvres glissant sur son épaule alors que je donne un énième coup de rein contre lui, grognant par l'effet que cela me fait, mon bassin percutant son fessier avec moiteur. Il se cambre, il se crispe et putain... bordel. Gémissant en serrant les dents face ce contact qui à l'effet d'une bombe sur mon plaisir, ma voix est cependant surplombé par Rhian. Aahha....Faust... Donnant un autre coup de rein en lui, ma main glisser sous lui me fait comprendre que sa phrase précédente était plutôt pour dire que "ça arrivait". Ravis de cette situation je frissonne par ce contact contre lui, sa cambrure précédente un ce simple frisson ayant raison de mon propre plaisir quelques secondes seulement après lui alors que dans un gémissement je finis par me contracter et évacuer cette pression dans une sensation plus que divine. Mon bassin cognant contre lui bien que ce soit pour "achever" cela, alors que mon estomac retourné par le plaisir laisse un vide particulier dans ma tête, seulement occupé par la plénitude des secondes d'extase après le sexe. Restant cependant au dessus de lui, je laisse mon front se poser sur son dos trempé, se quine me dérange absolument pas, j'essaye de reprendre ma respiration.

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Restant contre lui ma respiration se heurte à son dos brûlant et trempée, alors que je continue de respirer, mon cœur tambourinant avec force contre ma poitrine. Ma gorge me brûlant à chaque inspiration, je savoure bien trop cette sensation pour encore enlever de cette brulante vague de plaisir. Le reste n'étant que des détails dont je n'ai que faire, restant ainsi, je ne dis rien à sa main dans mes cheveux étant pourtant pas du genre ultra "câlin" après l'acte, mais plus à aller me fumer une clope et passer à autre chose. MAis là déjà je suis pas chez moi, de deux je reprend mon souffle... de trois c'est Rhian et je sais que le fait que je réagisse rapidement comme d'habitude ou que je prenne mon "temps" la réalité va pas tader à venir frapper.
Le sentant alors bouger je grogne le laissant cependant me virer de son corps alors que je retombe sur le matelas le sentant faire, se qui me tire un léger sourire ouvrant de nouveau les yeux pour l'observer se lever et aller jeter cela. Je le suis du regard, son corps luisant doucement de par sa transpiration et la lumière qui s'y reflète. Sans quitter son corps, se qui vient de se passer me revient doucement en tête alors que peu à peu je sens se qui devait arriver, arriver. Le plaisir diminuant au fil des secondes, s'apaisant peu à peu, mon esprit reprend possession de cette situation, alors que je repense à son téléphone quand on est arrivé, à mon état d'esprit en bas dans le salon....

Je sens alors son poids sur moi alors qu'il me tire un grincement de sursaut, me souffle se coupant alors que je le regarde au dessus de moi appréciant cependant le contact de son corps, qui me fait pas totalement perdre se qui s'est passé plutôt. Il me vole un baiser et je le laisse faire, n'allant cependant pas rechercher ses lèvres à mon tour. Le voyant passer son doigt je songe à un bon bain brulant à mon loft, dans ma baignoire jacuzzi. Qu'est-ce que tu dirais d'une douche ? Sauf, si tu veux rentrer chez toi tout collant? JE grimace bien qu'un peu amusé par son geste, cependant "m'éloignant" mentalement de plus en plus. Je glisse mes doigts dans ses cheveux essayant de pas agir comme tous le temps, pas avec Rhian. Je peux pas. Je ne veux pas. Mais c'est limite de l’instinct... J'en sais rien je ferais peut-être mieux de...Il me coupe. Bien sûr, une douche avec moi. Je te savonnerais. Attention ! C'est une proposition limitée dans le temps. Toujours le même Rhian, même avec "un an" de plus. Je l'observe avec ce sourire habituel le regardant à moitié blasé mais surtout amusé de voir qu'un mec comme ça puisse exister et continuer d'être ainsi avec cette société de merde. Ok... va pour la douche alors. Je rétorque avec lenteur attrapant fermement mais avec douceur ses poignets alors que je me redresse le faisant basculer sur le lit quittant ces draps salit de nos fluides. Je le suis alors jusqu'à la douche, observant sa salle de bain moins luxueuse que la mienne mais pas moche ou dégueulasse pour autant. Tu voudrais pas après ça retourner à mon loft ? Je demande avec désintérêt se qui contraste avec mes doigts glissant sur sa peau. Mon caractère et habitude à être détaché se mêlant cependant à cette proximité inhabituelle avec Rhian.

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Allant donc dans la salle de bain, je le suis dans la baignoire alors qu'il allume l'eau qui vient donc rapidement couvrr le bruit du silence. Le bruit du silence... Est-se que seulement peut-on appeler ça un bruit s'il n'y a rien ? Mais alors pourquoi dit-on qu'un silence peut-être lourd, qu'on entend le silence arriver à grand pas et toute ces conneries ? Peu importe. Ma tête pense sincèrement à des choses vraiment stupide, et je prend alors conscience que mon inconscient semble à tout prit penser à tout et n'importe quoi plutôt qu'à la situation à analyser.
Je finis par proposer de retourner à mon loft, où je me sentirais peut-être un peu mieux, un peu plus.... serein et moins paumé ? J'en sais rien. Mais en même temps je ne veux pas le laisser seul, pas pour sa soirée d'anniversaire, par pour le laisser comme un mouchoirs après utilisation. Et puis, retrouvé nos habitudes ça pourrait déjà être rassurant, il a déjà dormit des dizaines de fois au loft... Attendant sa réponse, il se retourne avec ce sourire si habituel. Je l'observe sans rien dire, regardant ses dents qui apparaissent légèrement avec ce sourire qui semble pourtant tellement faux.Je frissonne en sentant ses mains venir sur mon ventre baissant le regard sur ses doigts plein de gel douche. Je ne voyais pas les choses autrement. Je sourie, mes doigts venant alors glisser sur lui alors que je sens l'eau tomber sur ma peau se qui me fait un bien fou après notre activité précédente. L'observant un temps je prend son savon mes doigt glissant dans son dos avec douceur alors que je m'amuse juste à retracer le chemin de sa colonne vertébrale remontant dans son cou sans vraiment le nettoyer bien comme il faut. Alors.... ça fait quoi d'avoir dix-huit ans ? Je demande avec un demi sourire lointaine.

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Étant passé de sa chambre à l'atmosphère bouillonnant à la salle de bain à l'ambiance tout aussi brulante et humide avec l'eau de la douche, on se retrouve donc tout les deux dans la douche, certes nettement moins luxueuse que la mienne mais tout aussi bien. Et puis je suis pas vraiment venu ici pour observer la décoration. Pourquoi être venu ici ? Très bonne question, se qui vient de se passer n'était certainement pas dans mes prévision pour sa soires d'anniversaire. Se qui vient de se passer était nullement prévu de tout planning possible et rien ne semble pouvoir expliquer ce changement de situation. Enfin si, un seul mot me vient à l'esprit... Alex. Je peux nullement nier que le téléphone de Rhian m'ayant indiquer qu'il lui parlait alors qu'on était "ensemble" pour la soirée m'a clairement fait voir rouge et tout semble être partit de là. Mais il faut dire que de toute manière ça n'a nullement été contre mon gré, ça c'est sur.... Il m'a demandé d'aller chez lui pour une fois et sur le coup je pensais pas que ça finirait ainsi. Dans une autre situation j'aurais peut-être même pu accepter de rester la nuit ici, mais là... je voudrais retrouver mon loft, mes habitudes, nos habitudes de soirées dans un certains sens...

A ma question je le vois sourire et je sens ses mains dans mon cou alors que je suis du regard son avancer, restant de marbre sans être à le repousser lorsque son menton vient frôler mes lèvres. Ça fait...Que je sais encore plus ce que je veux. Ok là il me tire un sourire, je retrouve le même Rhian peu importe l'âge, ça c'est sur... Ca ne doit pas faire une bien grande différence avec hier ça... Je rétorque avec franchise mais un léger amusement. Je sens ensuite ses lèvres contre les miennes alors que je suis assez surprit de son geste auquel il faut dire je ne m'attendais pas. Il se détache pourtant juste après ne faisant aucun commentaire et je l'observe juste, mes doigts glissant le savon sur sa peau sans pour autant chercher à le laver plus qu'autre chose... Alors que lui, ses mains me donne quasiment l'envie de reprendre se qui s'est passé tout à l'heure. Je reste pourtant stoïque et lorsque l'eau revient virer le gel douche et terminer cette douche, j'abandonne en enfermant loin de ma tête d'autres idées. Voilà. Tu es tout propre. Par contre, tu veux peut-être des vêtements ? Je pourrais regarder dans l'armoire de mon père ? Ok, la par contre je le regarde avec limite froideur et dédain. Non mais il me connait pas ou quoi ? Porter des fringues à quelqu'un d'autre ? Il a vu ma tête ?! Encore moins de son père, il me prend à ce point pour un vieux ?! Je reprend la parole, seul mon regard lui faisant comprendre que je n'en veux pas. Ma voix restant calme et nullement méchante envers lui. Non ça va, je vais aller chercher les miennes je me changerait au loft. Je rétorque simplement alors que je finis par sortir de sa douche. Tu aurais une serviette, propre ? S'il te plait ?

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Je sors donc de sa douche, encore trempé alors que je regarde la salle de bain ne prenant aucune serviette n'étant pas dans le genre super fan d'utiliser celles des autres. Quoi, je vis seul dans un loft luxueux, j'ai une femme de ménage et je vis sur ce pied de luxe depuis ma naissance, donc ai-je la tête à partager une serviette avec qui que ce soit ? J'avais une salle de bain privé dès mes six ans et donc aucun risque de mélanger mes serviettes avec mes frères et soeurs. Il me sourit et là je me méfie légèrement de se qu'il va sortir ensuite, son regard m'indiquant où je dois regarder alors que sa main attrape la dernière serviette propre et pliée. Je pense que nous allons devoir partagés.. Bien évidement ça ne m'étonne que très peu. Le regardant faire je ne l'en empêche absolument pas, me mordant l'intérieur de la joue en le sentant venir contre moi la serviette s'éloignant de mon corps remplacer par son contact à lui. Le laissant faire je l'observe restant sur mes gardes. Tu n'as pas de serviette à toi ? Je demande avec un léger sourire...

Sauf, si cela te dérange ? Je le sens bouger et s'en est finit. L'envie grogne peu à peu en moi et se réveille alors que je sens son bassin contre mi, ma mâchoire se contractant dans un vain essais de ma tête pour se maitriser, je le vois se grandir pour essayer d'atteindre ma taille alors que ses lèvres à porté des miennes ne sont qu'une tentation de plus qui vise à abaisser les dernières barrières contre mon envie. Je soupire contre ses lèvres, plus d'envie qu'autre chose alors que mes doigts remontent lentement sur sa peau, contre ses cuisses, sur ses fesses. MEs yeux restant accroché aux siens, je viens finalement attraper sa lèvre inférieur entre mes dents un instant avant de la relacher et que ma langue prenne la relève glissant sur sa peau en s'éloignant de ses lèvres.

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